Formula 1 World Championship #F1

slick wrote:New footage of Sebastian Vettel-Lance Stroll crash released



http://www.skysports.com/f1/news/12433/11067518/sky-sports-f1-exclusive-new-footage-of-sebastian-vettel-lance-stroll-crash-released

zigzag wrote:Il y a plusieurs endroits à l'épingle et à la sortie de l'épingle.
Dans le S, virages 6 et 7.
Un peu dans le ligne droite du Casino.

Ce n'est pas parfait.
Mais pour voir les voitures à bons prix, c'est un juste équilibre.

Généralement, le matin on va dans les virages 6 et 7, les voitures passent devant nous à quelques pieds. C'est assez glissant, c'est intéressant de voir travailler les pilotes.
Puis on va dîner sur le bord du lac. Après on se promène parmi toutes les activités du site.
On va aussi faire notre tour dans les paddocks des séries de soutien: anciennes F1, Formule 1600, Ferrari, Porsche, etc.
Et l'après-midi on va dans le secteur de l'épingle.

À une époque, qui est de plus en plus lointaine, j'arrivais tôt le matin vers 5h00, je passais par les écluses du pont Victoria.
Je restais dans les buissons, sur un petit îlot qui longe la bassin olympique d'un côté et l'écluse de l'autre.
Je restais là jusqu'à ce que les membres des équipes arrivent.
Puis, je me joignais à un groupe et on passait sur la petite passerelle en bois sur le bassin derrière les garages.
Et je me retrouvais dans les puits avec tous.
J'étais à côté de Senna quand il parlait de la piste à son ingénieur. Je me retournais et Berger était là.
Puis une fois chez Williams, je regardais Mansell se préparer.
J'osais même aller voir les voitures et scruter les moteurs.
Une fois, en regardant de trop près le fameux V10 Renault, quelqu'un m'a demandé, en anglais, ce que je faisais là. C'était Frank Williams.
Je lui ai sourit, puis je me suis sauvé tranquillement sans me retourner et suis rentré tout de suite dans les garages de Ligier/Renault.
Là j'étais plus tranquille.
Et j'ai pu rester à regarder tous les préparatifs de l'écurie et des pilotes.
J'ai fait cela 3 fois.

La seule fois où je me suis fait prendre, c'était lorsque j'ai voulu montrer à un ami comment on fait pour entrer en douce. Rien de grave.
C'était pour la course d'endurance début 90.

La vielle on était rentré dans les garages, c'était le jeudi ou vendredi, avec les équipes.
Il y avait eu une présentation dans le centre-ville de Montréal.
Je me souviens de la Jaguar mauve accélérant sur Peel, le son de son moteur était hallucinant.
Une fois cette présentation terminée, toute les voitures ont été ramené au circuit Gilles-Villeneuve.
J'étais avec mon ami, qui à l'époque avait une Renault Fuego rouge Ferrari avec le kit euro et pleins d'auto-collants de Renault, Michelin, etc.
On suivait les voitures qui se faisaient ramener. Tous arrêtent à la guérite après le pont de la Concorde.
Devant nous, y'a l'équipe Peugeot. Arrivé à la guérite, on dit à la fille, «on est avec l'équipe Peugeot!».
Sans question, la fille nous laisse entrer sur le circuit avec notre voiture.
C'était cool.
On a visité toutes les écuries.
J'ai même été manger chez Lamborghini.

PleinGaz wrote:À condition d'être capable de tenir de longues heures debout.

Avec mon Crohn... oubliez ça!

slick wrote:New footage of Sebastian Vettel-Lance Stroll crash released



http://www.skysports.com/f1/news/12433/11067518/sky-sports-f1-exclusive-new-footage-of-sebastian-vettel-lance-stroll-crash-released

zigzag wrote:Il y a plusieurs endroits à l'épingle et à la sortie de l'épingle.
Dans le S, virages 6 et 7.
Un peu dans le ligne droite du Casino.

Ce n'est pas parfait.
Mais pour voir les voitures à bons prix, c'est un juste équilibre.

Généralement, le matin on va dans les virages 6 et 7, les voitures passent devant nous à quelques pieds. C'est assez glissant, c'est intéressant de voir travailler les pilotes.
Puis on va dîner sur le bord du lac. Après on se promène parmi toutes les activités du site.
On va aussi faire notre tour dans les paddocks des séries de soutien: anciennes F1, Formule 1600, Ferrari, Porsche, etc.
Et l'après-midi on va dans le secteur de l'épingle.

À une époque, qui est de plus en plus lointaine, j'arrivais tôt le matin vers 5h00, je passais par les écluses du pont Victoria.
Je restais dans les buissons, sur un petit îlot qui longe la bassin olympique d'un côté et l'écluse de l'autre.
Je restais là jusqu'à ce que les membres des équipes arrivent.
Puis, je me joignais à un groupe et on passait sur la petite passerelle en bois sur le bassin derrière les garages.
Et je me retrouvais dans les puits avec tous.
J'étais à côté de Senna quand il parlait de la piste à son ingénieur. Je me retournais et Berger était là.
Puis une fois chez Williams, je regardais Mansell se préparer.
J'osais même aller voir les voitures et scruter les moteurs.
Une fois, en regardant de trop près le fameux V10 Renault, quelqu'un m'a demandé, en anglais, ce que je faisais là. C'était Frank Williams.
Je lui ai sourit, puis je me suis sauvé tranquillement sans me retourner et suis rentré tout de suite dans les garages de Ligier/Renault.
Là j'étais plus tranquille.
Et j'ai pu rester à regarder tous les préparatifs de l'écurie et des pilotes.
J'ai fait cela 3 fois.

La seule fois où je me suis fait prendre, c'était lorsque j'ai voulu montrer à un ami comment on fait pour entrer en douce. Rien de grave.
C'était pour la course d'endurance début 90.

La vielle on était rentré dans les garages, c'était le jeudi ou vendredi, avec les équipes.
Il y avait eu une présentation dans le centre-ville de Montréal.
Je me souviens de la Jaguar mauve accélérant sur Peel, le son de son moteur était hallucinant.
Une fois cette présentation terminée, toute les voitures ont été ramené au circuit Gilles-Villeneuve.
J'étais avec mon ami, qui à l'époque avait une Renault Fuego rouge Ferrari avec le kit euro et pleins d'auto-collants de Renault, Michelin, etc.
On suivait les voitures qui se faisaient ramener. Tous arrêtent à la guérite après le pont de la Concorde.
Devant nous, y'a l'équipe Peugeot. Arrivé à la guérite, on dit à la fille, «on est avec l'équipe Peugeot!».
Sans question, la fille nous laisse entrer sur le circuit avec notre voiture.
C'était cool.
On a visité toutes les écuries.
J'ai même été manger chez Lamborghini.

SpeedMetal wrote: j'avoue que je n'aurais jamais pensé que tu puisses porter des actions comme ça...  

Dans la vie, Risques (bien gérés) = Rendement.    Il y a du bon à avoir un côté délinquant...  chaque facette de notre personnalité peut être utilisé pour créer du positif, du constructif et du sain...

Ton audace t'a permis de vivre des choses que je ne vivrai jamais.

lastgard wrote:j'ai pas pu résister,j'ai acheté deux 
billets pour le G.P de Mtl admission libre

lastgard wrote:j'ai pas pu résister,j'ai acheté deux 
billets pour le G.P de Mtl admission libre

zigzag wrote:

lastgard wrote:j'ai pas pu résister,j'ai acheté deux 
billets pour le G.P de Mtl admission libre

J'en ai acheté 3 comme prévu.
Là, faudrait bien se dire un p'tit salut. Pas s'manquer comme à chaque fois à Trois-Rivières.

Pour les billets, ce sont des billets électroniques.
J'aime bien les recevoir chez moi et avoir un bel emballage et des billets officiels, là ils vont sortir de mon imprimante.
Ça s'comprend à 19,78$, ils ont voulu réduire les coûts au minimum.

"Je ne m’attendais franchement pas à avoir une autre opportunité de pouvoir disputer un Grand Prix en Formule 1," reconnait-il aujourd’hui.

"Je continuais à faire des tests F1 en simulateur, parce qu’une partie de moi voulait encore y croire. Je savais que ce serait difficile mais je pense que cette histoire, ce qui m’arrive, démontre qu’il ne faut jamais abandonner ses rêves. Que les rêves peuvent se réaliser."

"Cela peut paraitre un peu cliché, mais c’est la vérité, c’est comme cela que ça s’est passé, vraiment."

Hartley révèle qu’il avait repris contact avec Helmut Marko plus tôt cette année.

"Je lui ai dit que je me sentais prêt maintenant, si jamais une opportunité se présentait. Je n’ai pas eu de nouvelles, sans surprise, pendant trois ou quatre mois. Avant l’appel de cette semaine. Je lui ai répété que je me sentais prêt. Je ne suis peut-être pas aussi jeune que les autres mais j’ai tellement d’expérience en sport auto maintenant."

Qu’attend-il de ce premier Grand Prix ?

"Je ne veux pas me mettre trop de pression et fixer des objectifs précis. Mais je pense que je suis aussi prêt qu’on peut l’être pour une chance inattendue comme celle-ci. Cela va être spécial. C’est un choc pour tout le monde dans ma famille. Je suis certain qu’il y aura beaucoup d’émotion quand je serai sur la grille de départ. Mais je me sens prêt, je me sens à la hauteur, je suis excité, un peu nerveux aussi, évidemment."

Hartley sait que Toro Rosso a un baquet à prendre pour 2018, si Daniil Kvyat n’est pas reconduit.

"Ce n’est pas dans mon esprit, pour le moment..."

Button : Mon amour pour la F1 est mort avec le décès de mon père

Grégory Demoen
16/10/2017 à 18:15

Jenson Button a révélé que le décès de son père, John, en 2014 avait emporté son amour pour la Formule 1.

Le pilote britannique a choisi de prendre une année sabbatique à la fin de la saison dernière, et, même s’il est sous contrat avec McLaren jusque la fin 2018, il a plusieurs fois indiqué cette année qu’il ne souhaitait pas revenir en F1.

"J’ai toujours une option pour courir l’année prochaine, mais mon temps en Formule 1 est passé", confie Button au Sunday Times Magazine en marge de la sortie de son autobiographie, "Life to the Limit".

"Après le décès de mon père, ma passion pour la course automobile est restée inchangée mais mon amour pour la Formule 1 n’était plus là", écrit Button dans son autobiographie, dont un extrait est repris dans le Sunday Times Magazine.

"Je me suis retrouvé à faire du surplace, à chercher une signification et un objectif à ce que j’accomplissais, mais en vain. La vie sans lui était comme s’il était interdit de rire, comme si la musique avait cessé d’exister. Comme si toutes les couleurs avaient disparu."

"Plus je pensais à ma carrière, plus je réalisais que je ne ressentais pas la même chose que ce que Sebastian [Vettel] et Lewis [Hamilton] doivent, je suppose, ressentir. Je ne ressentais pas ce besoin d’enchaîner les titres de champion du monde."

"J’avais atteint la Formule 1, j’étais devenu champion du monde de Formule 1. La faim qu’il y avait en moi au début de ma carrière était satisfaite."

Le Canadien n’a jamais connu une franche réussite avec son écurie, et cela l’a rendu peut-être un peu aigri. Le consultant de Canal + en prend franchement pour son grade dans le livre de Jenson.

« La seule personne qui ne me voulait pas dans une BAR, quand j’ai rejoint l’équipe en 2003, c’était Jacques Villeneuve » se rappelle Jenson Button.

« Lors de notre première conférence de presse, on lui a demandé ce qu’il pensait de son nouveau coéquipier. ‘Eh bien’, a-t-il dit, ‘il est inexpérimenté, il a le look d’un chanteur de boys band.’ Il avait ouvert les hostilités et cela m’a dérouté. »

« Après cela, Jacques ne m’a plus parlé. Il ne me regardait même pas. Si nous nous croisions dans le paddock, il trouvait quelque chose d’autre d’intéressant à regarder ailleurs. »

« Au premier Grand Prix en Australie, il était censé rentrer aux stands au 30e tour et moi au 31e. Cependant, Jacques avait économisé un peu d’essence lors du premier relais et n’était pas rentré, même s’il avait été appelé aux stands. A la place, il rentra délibérément au 31e tour, en sachant que je ne pourrais que ravitailler à sa suite. »

« Pourquoi l’a-t-il fait ? C’était un jeu psychologique en partie, et aussi parce qu’il voulait me battre. Mais c’était une sale manœuvre, pour un pilote de sa qualité, assez incompréhensible. En tant qu’ancien champion du monde, il aurait dû savoir l’importance de garder l’équipe de son côté, et avec cet acte d’irritabilité, il avait tourné l’équipe contre lui. »