Bière qui roule n'amasse pas mousse

Suis tombé sévère dans le moût de pomme cette année à Noël.

Happy Moût Year les gras!!

  

Agarnak!?
T'as sablé le moût de pomme, mon Monte?   
  

Mezan, tombé drette dans l'mou.

C'est super du moût!

Yeah!!

Avec le bulles et tout!!!

Festif, donnant envie de coincer le belle visite dans le coins en rigolant les soir de pleine lune!!!

Euh, ok, je sors.

  

À chaque année, je vais à l'Isle-aux-coudres et j'en profite toujours pour m'acheter quelques bouteille de moût, de cidre, de jus de pomme etc... chez Pednault, cidres et vergers, http://www.vergerspedneault.com
Ils ont vraiment de bons produits.
J'aime bien l'Écume de mer, c'est un cidre mousseux (méthode champenoise) vraiment délicieux.
Et le jus de pommes pur ou bien le moût de pommes de glace, hummm....

Finalement, je l'ai goûté cette cervoise, cap.

Dans l'ensemble pas mal cette Alésia.

Je m'attendais au pire.
Alors j'ai bien observé les indications.
Conseillé de la boire entre 6 à 10C, je l'ai bu autour de 6 degrés.
Puis première gorgé, c'est vrai qu'on est pas dans les bières au goût caramélisé ou une IPA très houblonnée, mais ce petit goût citronné, rafraichissant, j'ai bien aimé.
Cette cervoise avec son léger goût d'agrume est une bière idéale d'été qu'on prend très froide.

Maintenant, je sais ce qu'Obélix buvait et aimait prendre froide... surtout pas tiède.   

 

  

  

  

Tant mieux si tu l'as apprécié   

Après coup, après avoir posté, je me suis dit qu'on était p-e tombé sur une mauvaise batch, une mauvaise bouteille. Quoique c'est peu probable.
C'était assez unanime parmi nous... Par contre, c'est vrai qu'elle était plus vers 10 deg (peut-être plus, on n'a pas de thermomètre, c'est à vu de nez   ).

Maintenant, la vraie question... en racheterais-tu une??  

Je savais que tu allais me poser cette question, parce que je me la suis posée moi-même

Oui, j'en rachèterais une (l'été prochain)
Elle ne figure pas dans mon «top dix» des bières, mais j'aime les bières qui m'amènent à une autre place. Il y a beaucoup de bières qui se ressemblent, du genre qu'on dénote quelques légères saveurs différentes, mais que dans l'ensemble cette bière est similaire à bien d'autres qu'on a goûté.
Avec l'Alésia on est sur une autre planète ou dans un autre temps (52 av. JC) et cela ne me déplaît pas.

Dans l'un des albums d'Astérix, ya un gras qui se plaint que sa cervoise est tiède. Ca expliquerait peut-être la différence de gout...  

Simon wrote:Dans l'un des albums d'Astérix, ya un gras qui se plaint que sa cervoise est tiède. Ca expliquerait peut-être la différence de gout...  

À plusieurs occasions dans Astérix on fait référence à la Cervoise tiède, surtout quand ils sont en Bretagne (Angleterre dans Astérix chez les Bretons).
On voit Obélix recracher une gorgé de cervoise tiède. Il déteste.

La cervoise est composée d'orge et d'autres céréales et aromatisé d'herbes et d'épices.
En me documentant je lu que le houblon existe depuis l'Antiquité mais que la cervoise n'avait pas de Houblon puisque les vertues du houblons ont été découvert au Moyen-âge par une certain Hildegarde de Bingen (1099-1179) Elle écrira que le houblon "arrête la putréfaction et prolonge la conservation" de la bière. Son utilisation va dès lors se généraliser et au XIIe siècle, le houblon est la principale herbe utilisée dans la fabrication de la bière.

C'est sûr que pour être différente, elle l'est   

Je suis bien content pour toi que tu l'aies appréciée (surtout pour son prix   )

Il faut dire aussi, que par ordre de préférence, les blanches arrivent au derniers rangs dans ma palette de goût. Je préfère les bières foncées.

Il y a aussi les circonstances, ce qu'on a bu avant, mangé, etc.

Si jamais on ose encore, ça sera bien froide... Frigidaire. 4deg.   

P-e le verdict sera un peu mieux.   

Probablement.

Le goût évolue.

Je me souviens de la première fois que j'ai bu une rousse.
Mes parents habitaient en Mauricie et dans un dépanneur du coin, je trouve une bière de la région, La Porneuvoise.
Une rousse très cuivrée.
Je ne l'ai pas aimé, elle ne goûtait que le cuivre.
Il faut dire qu'à l'époque ma bière préféré c'était la Black Label.
Au Québec, on ne connaissait pas les bières outre les produits Molson ou Labatt.
Donc mon goût devait se faire et s'habituer à de nouvelles saveurs.
Je pense que pour la Potneuvoise on était probablement en 1987, car c'était avant ma première Belle-Gueule (première bière à grande distribution de micro-Brasserie) qui était uniquement distribué en fût dans certains bar. Je me souviens à l'été 1988, d'avoir goûté la Belle Gueule dans un bar sur St-Denis qui s'appelait le Km/h.
Par la suite, la Boréale est apparue. Elle était assez populaire au CEGEP.
Je me souviens aussi bien plus tard, début des années 90, d'avoir goûté ma première Blanche de Chambly au bar les Bobards.
À mon goût, elle goûtait la banane.
Maintenant, je la goûte et oui il y a une léger goût de fruit, mais jamais un goût de banane aussi prononcé qu'à la première fois.

Je me souviens aussi probablement en 1995 ou 96, d'avoir goûté à ma première Quelque chose.
Une bière qui fallait faire chauffer à 70 C degrés.
C'était très particulier, étonnant la première fois, mais c'est vite devenue une bière que j'aimais.
Un goût de cerise, une mousse très présente et la chaleur pour les hivers rudes.

Dans une vie antérieure, j'ai travaillé chez Unibroue à la livraison. Ca a été mon initiation aux bières de micro-brasserie. A $10 la caisse de 24, me suis payé la traite pendant les 6 mois ou j'y ai travaillé. Bien apprécié la Blanche de Chambly et la Raftman, surtout, et une Maudite de temps à autre avec un bon steak sur le BBQ. Dans le temps, il n'y avait qu'une demi-douzaine de bières de disponibles, mais la Blanche, la Maudite et la Fin du Monde étaient les meilleurs vendeurs. La Raftman venait tout juste de sortir. Puis, avant les Fêtes, ils ont lancé la Quelque Chose, qu'il était recommandé de chauffer pour la boire. OUACHE!!!   

Si je comprends bien Zig, tu supposes que je suis trop novice pour apprécier   

Je me rappelle de la Portneuvoise... Malheureusement, elle avait eu un "goût de mouffette" propre aux bières qui ont été exposés à la lumière. Puisque je n'y connaissais rien, je n'avais pas compris et n'avais pas pris la chance de la ré-essayer. De toute façon, je n'aurais pas su l'apprécier peu importe... dans ce temps-là, la bière avait 2 fonctions: l'ennivrement et rincer les chips. En particulier les "Mexitos"   

Capone wrote:Si je comprends bien Zig, tu supposes que je suis trop novice pour apprécier   

Zig, bien entendu je te tirais la pipe (juste au cas).

j'ai lu vite...   


je te tirerais la bite (jusque au bas).




  



...et là me suis demandé si zig porte ses bas au genou ou à la cheville!!!




 

   


Haleine mon vieux, Porto haleine   

Sinon, aux genoux ou à la cheville, les deux cheval  

ok Cap!

Je parle de mon parcours, simplement.
Ce que je remarque, c'est que mon goût a évolué.

À l'époque du CEGEP en voyage en France, j'ai acheté un camembert qui puait vraiment. J'étais habitué à ce genre de fromage,mais pas trop à ceux qui ont des effluves hyper présentes. Je donc donné mon camembert à des vieux dans un bistrot.
Aujourd'hui, je ne ferais jamais cela.
Je suis devenu friand de ces fromages odorants,mais si veloutés pour le palais.

Est-ce que le goût pour les femmes évolue de cette façon ?   

JMPD

malade!  

Mais blague à part, Zig, c'est vrai ce que tu dis concernant les goûts... On s'acclimate, on s'habitue à une nouvelle (sur) stimulation et on recherche toujours un peu plus par après. Un retour en arrière et c'est fade...
On retrouve ça dans tout. La vitesse par exemple...