Coups de gueules!!!

PKP est un GÉNIE, rien de moins.

Si sa sécurité personnelle n'est pas menacée, il pourrait RÉVOLUTIONNER le QUÉBEC.

Il prône les principes de la GESTION PARTICIPATIVE que j'ai apprise il y a 20 ans.

J'ai toujours été convaincu que ce devrait être LA façon de gérer une Entreprise d'une manière EFFICIENTE.

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/pierre-karl-peladeau-propose-une-revolution-du-capitalisme-nord-americain/577158/3

Pierre Karl Péladeau propose une révolution du capitalisme nord-américain
Offert par Les Affaires

Édition du 21 Mars 2015

Versement obligatoire d'une partie des bénéfices des entreprises aux employés, crédit d'impôt à ces mêmes employés lorsqu'ils participent au financement de leur entreprise, rapprochement entre les salariés et les conseils d'administration...


Il n'emploie pas le terme, mais ce n'est pas moins qu'une révolution de la pensée capitaliste nord-américaine et du fonctionnement des entreprises d'ici qu'exprime Pierre Karl Péladeau, dans une longue entrevue accordée à Les Affaires.


Lorsqu'on lui demande l'élément de son programme économique dont il souhaite le plus discuter, le candidat à la chefferie du Parti québécois répond tout de go : «l'intéressement». M. Péladeau veut convier toutes les forces de Québec inc. à un exercice de réflexion sur de nouvelles initiatives pour faire avancer l'économie québécoise.

Le premier volet de sa stratégie est de faire en sorte que les entreprises du Québec réservent une partie de leurs bénéfices à leurs employés. La mesure serait enchâssée dans une loi et obligatoire. La hauteur du bénéfice qui serait réservé est à déterminer. «Il est encore trop tôt pour discuter d'un quotient», dit-il.


Autre élément de la stratégie, Québec pourrait offrir un crédit d'impôt aux employés qui participeraient au financement de l'entreprise pour laquelle ils travaillent. «Ça s'adresserait sans doute davantage aux moyennes entreprises qu'aux petites.»


Pierre Karl Péladeau pense que ces mesures pourraient aider à faire en sorte «qu'il n'y ait plus de contradiction ou d'antinomie entre le travail et le capital».


«Cela ferait en sorte que tous puissent travailler dans la perspective du développement harmonieux de l'entreprise, de l'amélioration de la productivité, de la stimulation de l'innovation et de l'intégration des réflexions qui existent au niveau des processus de fabrication», lance-t-il.

M. Péladeau voit le crédit d'impôt aux employés finançant les entreprises comme «un rétablissement du REA [régime d'épargne-actions], mais plus circonstancié».


Lorsqu'on lui demande s'il croit que le monde syndical accueillerait favorablement ces initiatives, il répond que oui. «Je ne pense pas que le monde syndical ait pour vocation d'affronter le développement harmonieux d'une entreprise. Ils veulent qu'on puisse procurer des emplois aux citoyens et citoyennes du Québec.»


L'ancien chef de la direction de Québecor reconnaît que les conflits de travail qu'il a eus avec diverses unités de l'organisation dans le passé font beaucoup de bruit. Il semble cependant d'avis que de telles mesures auraient amélioré les rapports. «Si cette situation avait existé chez Québecor, on aurait été en mesure de dire "voici les défis du Journal de Montréal". On aurait pu mieux en parler, avoir des interlocuteurs. Plutôt que de penser "on changera la convention collective quand le journal perdra de l'argent"«, illustre-t-il.

Des employés aux conseils d'administration ?

En cours d'entretien, M. Péladeau insistera pour dire qu'il ne propose pas des choses totalement novatrices. Que des initiatives du genre existent ailleurs. Il donnera à titre d'exemple les comités d'entreprise «qui sont des forums qui permettent aux participants de mettre en oeuvre des schémas engagés pour la rentabilité de l'entreprise». En France, un comité d'entreprise est composé de la direction, de salariés et de représentants syndicaux. Il a accès à plus d'informations concernant la situation d'une société et peut y aller de certaines recommandations.


Il parlera aussi du modèle allemand, où des représentants des employés siègent au conseil de surveillance, un organe qui a la possibilité de nommer et de congédier des dirigeants. «En Allemagne, ça existe, et on ne peut pas dire que ça ne va pas bien.»


M. Péladeau ne va cependant pas jusqu'à dire qu'il adopterait un modèle qui forcerait une représentation des employés aux conseils d'administration (CA) des sociétés.

L'aspirant chef croit cependant que les CA doivent constater que les choses évoluent et qu'ils ne sont plus redevables uniquement à l'actionnaire, mais aussi à la collectivité dans laquelle ils évoluent.


Il souligne que sa proposition ferait l'objet d'une consultation organisée.


PKP sur la dette et l’indépendance, les sièges sociaux et le filet social


Dans l’éventualité de l’accession du Québec à l’indépendance, la dette du Québec lui permettrait-elle de maintenir ses programmes sociaux actuels ?


«Il est prématuré de donner une réponse définitive. Des questions de cette nature doivent être posées et examinées. L’objectif de l’indépendance est de maintenir le modèle québécois », répond Pierre Karl Péladeau.


Le candidat à la chefferie du PQ indique que l’éventuel Institut de recherches appliquées sur l’indépen- dance serait responsable d’évaluer cette question. Cet organisme serait composé d’experts et son fonctionnement ferait appel à un financement populaire.


Le but est de le mettre sur pied le plus rapidement possible afin d’avoir réponse à ce genre d’interrogation d’ici l’élection de 2018.


M. Péladeau dit qu’il ne peut offrir de garanties à l’égard du modèle québécois, mais qu’il souhaite son maintien. Il le définira d’abord d’un point de vue économique en citant des institutions comme la Caisse de dépôt, Hydro-Québec et la SGF, « qui ont mis en place un environnement susceptible de créer de grandes entre- prises, détenues par des intérêts locaux ».


Il définit aussi le modèle québécois par son filet social, en renvoyant à l’assurance maladie ainsi qu’aux investis- sements massifs en éducation.

Pierre Karl Péladeau estime qu’il faut maintenir l’accessibilité par des droits de scolarité abordables. Il se dit prêt à discuter de tarifs à la baisse, en ajoutant qu’on devra tenir compte «d’une plus grande imputabilité face à la contribution de la collectivité».


Sur la dette du Québec, M. Péladeau juge qu’elle n’est pas révélatrice de la capacité financière du Québec.


« Il y aura aussi une valeur à accorder à nos actifs. Tout cela doit être établi. Nous comptons sur des actifs de grande qualité comme Hydro-Québec, mais dont les principes comptables ne permettent pas de refléter toute la valeur. »


Comme pour illustrer la valeur de réalisation de l’actif, il souligne que les Québécois comptent parmi ceux qui paient le moins cher leur électricité en Amérique du Nord. Il se dit cependant contre toute forme de privatisation de la société d’État, et juge « qu’il n’est pas réaliste de penser qu’on va augmenter les tarifs ».


Les sièges sociaux


Pierre Karl Péladeau veut par ailleurs améliorer la protection des sièges sociaux du Québec.


Il veut également convaincre de grandes institutions de prendre des participations de blocage dans des entreprises névralgiques pour le Québec.


« Si une entreprise ne peut pas amasser plus de 90 % d’une société, ça devient plus difficile et moins intéressant pour elle de pouvoir l’acquérir en totalité. C’est encore possible de le faire si on contrôle les deux tiers, mais c’est plus compliqué », explique-t-il.


Lorsqu’on lui demande quelles seraient ces institu- tions, il nomme la Caisse, le Fonds de solidarité et Fondaction. Mais il ajoute aussi les institutions financières. « Prenons la Banque Nationale et Rona. Si Rona passe à une entreprise américaine, pensez- vous que la relation d’affaires va être aussi solide ? C’est sûr que non. L’entreprise américaine a ses banquiers et ils vont s’organiser pour essayer de récupérer cette business-là ! C’est tout l’écosystème qui est en cause. [Si on n’agit pas,] nos institutions vont avoir un potentiel de développement moindre. »


Dans les numéros à venir, nous publierons un résumé de nos entretiens économiques avec les autres candidats à la chefferie du Parti québécois.

Un génie, je ne sais pas, Par contre, il est grand temps que l'on se dote de représentants qui ont un peu de bagout, des gens du milieu des afffaires et non des politiciens de carrière.

Sur que PKP ne fera JAMAIS rien qui pourrait nuire à Québécor et/ou Vidéotron... Mais en quoi serait-ce pire que ce que l'on voit aujourd'hui avec le favoritisme flagrant auquel on nous a habitué et sur lequel on ferme si convenablement les yeux?

Exact.  Et, en n'agissant pas, on accepte de façon tacite et on les conforte dans leur Incompétence Tranquille.

Qui plus est, dans leurs intentions de nous détruire, de nous frauder, de nous voler le modèle de société que nous nous sommes construit.

1 an de PLQ, êtes vous prêts à en passer 3 autres?  Si on les laisse là, il n'y aura plus de fondations sur lesquelles nous pourrons construire...


http://www.journaldemontreal.com/2015/04/06/gouvernement-couillard-un-an-deja

Simon wrote:Un génie, je ne sais pas, Par contre, il est grand temps que l'on se dote de représentants qui ont un peu de bagout, des gens du milieu des afffaires et non des politiciens de carrière.

Sur que PKP ne fera JAMAIS rien qui pourrait nuire à Québécor et/ou Vidéotron... Mais en quoi serait-ce pire que ce que l'on voit aujourd'hui avec le favoritisme flagrant auquel on nous a habitué et sur lequel on ferme si convenablement les yeux?

Tu sais... ce qu'il propose là, La Gestion Participative, c'est ce que j'ai appris, c'est là-dedans que j'ai choisi de raffiner ma formation scolaire (Majeure); j'ai toujours RÊVÉ de le voir dans des organisations... Là, je vois la possibilité de le mettre en place pour ma Nation, mon peuple...

Ça ne me fait pas ma journée, ma semaine ou mon mois.... ça fait ma Vie...

Il invente rien, notre entreprise applique cette pratique depuis sa fondation, il a maintenant 35 ans. Faut croire que les Européens ont compris ce principe depuis longtemps... (Notre fondateur est d'origine danoise mais son fils est Canadien)...

Nos entrepreneurs et chefs d'entreprise sont-ils trop "greedy"? Fort possible... Comme nos politiciens et haut dirigeants d'entreprise, dans la grande majorité...

Nous appliquons aussi la gestion participative dans ma petite entreprise (50 employés).

Ben voilà! Et au change, tu évalues ça comment? Je parierais que dans ta situation (plus spécialement considérait ou tu opères), il te faut maintenant envisager de telles solutions afin de retenir et de fidéliser ta main d'oeuvre?

fidéliser la main d'oeuvre!
le mot clé,mais pas facile avec mois de 5 employés
j'imagine place avec 50 tu n'es pas sortie du bois

Je sais que PKP n'invente rien car lorsque je l'ai étudié formellement, c'était déjà supposé d'être la nouvelle vague en Gestion qui devait être priorisée depuis 10-15 ans.

Qu'elle ne fût pas ma surprise de constater que sur le marché du travail, pour une très grande majorité, c'était encore l'approche Gestion Autocratique qui primait principalement...  avec tous ses méfaits...

L'avantage principal de la Gestion Participative n'est pas (nécessairement) de faire participer les employés aux bénéfices.  Elle est plutôt d'utiliser l'information de TOUS les employés concernés afin d'améliorer la prise de décision et l'engagement des employés (car on applique souvent un peu/beaucoup de leurs idées) et de faciliter l'intégration de ces nouvelles décisions (et de les rendre pleinement opérationnelles) et d'assurer une veille constante (variable Contrôle).

Gestion = Planification + Organisation + Direction + Contrôle = PODC.

La Gestion Participative est donc à l'opposé de la Gestion Autocratique dans le sens ou celle-ci est très hiérarchique et où les différents départements et niveaux hiérarchiques sont très cloisonnés, où on contrôle constamment qui a accès à quelle information, cela pour que les grands patrons (insécures dans leurs compétences) puissent bien protéger leur pouvoir dans l'entreprise, bref la Gestion Autocratique est très "petite politique" et c'est justement pour ça que cela se reflète sur les Cultures Organisationnelles (la "personnalité" de l'entreprise) et que tous les employés en souffrent.

Car, se faire donner et imposer des ordres qui ne font pas de sens pour l'équipe rend désabusé et désengagé...

C'est dans ce sens-là que PKP n'est rien de moins qu'un génie car c'est justement le plus grand problème du Québec d'être désabusé et désengagé...  On a besoin de COHÉSION sociale si on veut arrêter de reculer, si on veut avancer, si on veut se créer une estime de nous et une confiance en nous qui nous permettra, un jour, de passer à l'action et de s'AUTO-RESPONSABILISER.

J'espère que ça éclairera votre lanterne?

Sachez que de faire pleinement comprendre ça aux organisations pourrait facilement me permettre de charger de grands frais, de très grands frais...  Ce petit bout-là, je vous l'offre gratuitement.

Sachez aussi qu'on fait TOUS de la Gestion (Management) et de la Vente (Marketing) à tous les jours, même si on n'a pas d'entreprises...  car on est constamment en relation avec des humains et avec des situations...

Ne serait-ce que de gérer un projet de rénovation, de faire les commissions ou de vendre à sa femme l'idée à sa femme d'acheter des mags pour la nouvelle auto et/ou d'aller faire une course de karting avec les chums un dimanche de la Fête des Mères...

Est-ce qu'il y aurait quelqu'un parmi vous qui serait intéressé à mes services; je vais vous faire un vrai prix d'ami.     Parce que je sais que je vais le faire pour de bonnes personnes intègres et bien intentionnées et qu'elles ont l'esprit grand ouvert.

Dieu que je vous aime les gras de prendre le temps de vous écrire tout ça. Qui plus est, sans rien demander, directement, en échange...

Et puis Simon et Placebo, je suis super content pour vous.

Mais jusqu'où va réellement cette Gestion Participative, jusqu'où en tirez-vous réellement les bénéfices? Pour vous, vos employés (et vos patrons)?

Parce que même si on est PDG de la plus grande multinationale dans le monde, on a toujours un patron, toujours... et ce patron, c'est notre clientèle...

Donc la notion de POUVOIR en tant que telle est très relative pour ceux qui en sont conscients...

Lorsqu'on en est conscient, il nous est impossible de "powertripper" comme le fait souvent les adeptes de la Gestion Autocratique...  Juste... par exemple; avez-vous vu comment gère le PLQ?

Il nous ont raconté des histoires et là une fois au pouvoir, ils imposent totalement et systématiquement, PAR LA FORCE, leur agenda caché.  (et j'entends des imbéciles chialer contre les étudiants et les manifestants, christ de gang de rats inconscients)

Ceux qui me disent que la situation actuelle est normale et habituelle: NON.  Ça n'a JAMAIS été si pire que ça au Québec...  à part, peut-être, pour la période P-E Trudeau et le FLQ...

Mais Pierre-Elliot avait au moins le grand mérite d'être ultra-intelligent et ultra-machiavélique...  

Là, on se fait enculer par une gang de bozos, tous plus cons les uns que les autres...  je m'excuse (pas du tout), mais c'est chrissement ça... et le PIRE, c'est que c'est nous qui les avons remis au pouvoir 18 mois après les avoir sortis pour fraudes et corruptions...

Et dans le temps de Pierre-Elliot; on n'était pas dans l'ère informationnelle où TOUTE l'information est facilement accessible, où la communication est suprêmement facile, donc où il devrait être juste normal et tout à fait naturel d'avoir une cohésion sociale jamais atteinte...

Il est temps que chacun d'entre nous arrête d'être NEUTRE (complicité tacite avec le PLQ) ou d'être CONTRE TOUT et de juste chialer (c'est la loi du moindre effort) et se documente, se sensibilise, se fasse une opinion et ait le courage de prendre ACTION pour être POUR quelque chose, quoi que ce soit...

Vous avez à coeur de vous défendre et de défendre les intérêts de vos proches?

Prenez un bâton, un tout petit s'il le faut, mais prenez un bâton de pèlerin et svp sensibiliser vos proches à VOTRE cause.

En tous cas, moi, en écrivant tout ça, j'ai cherché à défendre VOS intérêts et par la bande, ceux de vos proches, de vos enfants...

Maintenant, si vous me dites que vous n'avez pas un petit peu de temps pour lire...

Je lâche prise anyway.

PS1il reste moins d'une semaine pour vous inscrire au PQ et pouvoir voter pour le chef qu'il vous plaira...

Et puis si jamais, vous trouvez que l'info que j'ai mise ici est intéressante et que vous décidez de choisir cette cause-là:
- le premier geste pourrait être de faire lire vos proches.
- le 2ème geste pourrait être de vous inscrire ici: https://cartedemembre.pq.org/

N'oubliez pas, toute abstention lors des élections provinciales, tout vote pour un autre parti que le PQ équivaut à un vote pour le PLQ...  c'est juste de la statistique... des maths...

Il faut sortir le PLQ de là, tout de suite!

http://www.journaldemontreal.com/2015/04/06/gouvernement-couillard-un-an-deja

C'est ça, le sort réservé à vos enfants, les gras.  Et vos enfants, c'est l'avenir de notre société.    

"Non, comme société, nous ne sommes pas les alliés des jeunes puisque nous méprisons l'éducation tout comme la culture d'ailleurs, le savoir, la langue bien parlée, l'histoire, les intellectuels et la vie de l'esprit. En somme, nous ne nous aimons pas en tant que peuple. Et c'est peut-être toutes ces raisons qui expliquent pourquoi au Québec on a tellement de la difficulté à se projeter vers l'avenir et encore plus à s'en donner un."

http://quebec.huffingtonpost.ca/rejean-bergeron/nous-ne-sommes-pas-les-allies-des-jeunes_b_7007752.html

Oui, je sais, vous me trouver (juste un peu?) trop intense.  

Vous avez fondamentalement raison.  Et sur le fond.  Et sur la forme.

Mais je veux que ça soit clair, je ne suis pas choqué contre vous.  Je ressens une colère sourde que notre peuple en soit rendu là et qu'on continue de penser à soi... juste à soi.

Mais avez-vous pensé, qu'on vit en société et que cette société à un effet direct sur chacun de vous, peut-être pas demain matin, la semaine ou le mois prochain...  mais dans 1-2-5 ans, soyez certain que ça va le toucher votre "soi".  Directement, et il sera trop tard.

Il est grand temps d'avoir une vision stratégique de la chose et de la mettre en action.  

Si on ne passe pas, chacun d'entre nous, à l'ACTION dès maintenant, le Québec, dans 3 ans, sera tellement affaibli et dénaturé que les fédéralistes et le reste du Canada n'auront plus qu'à nous écraser du pied comme une vulgaire coquerelle...

Et sans aucune animosité envers vous...  mais envers ce qu'on laisse faire et ceux qui nous le font...  j'avoue, j'enrage gravement.

Il n'y a qu'un an de cela: 700 000$ de fraude par le PLQ...  Ils se sont même créer un faux comté...  on n'en parle même plus...

http://www.ledevoir.com/politique/quebec/405835/financement-illegal-au-plq

Et oui, je viens d'ouvrir mon Fbook et le premier truc sur lequel je tombe... c'est ça.

Pourtant, il n'y avait qu'un "like"...  Ces temps-ci, c'est toujours comme ça...

Dehors le PLQ!  Tout de suite!

PS je me demande ce qu'on va apprendre plus tard de ce qu'ils ont en train de faire PRÉSENTEMENT...

Simon wrote:Ben voilà! Et au change, tu évalues ça comment? Je parierais que dans ta situation (plus spécialement considérait ou tu opères), il te faut maintenant envisager de telles solutions afin de retenir et de fidéliser ta main d'oeuvre?

En fait, cette philosophie fait partie des mœurs du groupe depuis les années 80. Je trouve cela très intéressant étant donné que l'on va chercher, en comités, des idées d'employés qui sont sur le terrain. C'est nécéssaire car pour le dirigeant l'arbre cache parfois la forêt.

J'ai oublié de mentionner que pour l'employé c'est interessant de voir une de ses idées appliquée. Après tout le patron (moi) n'a pas le monopole de la vérité. Au final, ça doit avoir un effet de rétention sur eux.

Nous on a la compagnie qui offre un RPDB dans nos REER. Mieux qu'un fond de retraite vu qu'on le gère nous-même et ils y participent. Si il font banqueroute, ben on a encore notre argent pour la retraite!

Employee empowerement, gestion participative... Un dérivé des théories humanistes des années 50.

J'ai enseigné ça à mes dentistes pendant 10 ans.

PleinGaz wrote:Nous on a la compagnie qui offre un RPDB dans nos REER.  Mieux qu'un fond de retraite vu qu'on le gère nous-même et ils y participent.  Si il font banqueroute, ben on a encore notre argent pour la retraite!

On a un dérivé de ça nous aussi. C'est avec GreatWest mais la compagnie "match" jusqu'à concurrence de 4% de notre revenu brut sur T4 de l'année précédente ou $10 000. On ne peut toucher à la portion versée par l'entreprise mais vu que c'est externe, les fonds sont quand même protégés.

Nous avons aussi des bourses d'études pour les enfants de nos employés, un tirage trimestriel ou on remet la moitié de la somme à un employé pigé au hasard et l'autre moitié à l'oeuvre de charité de son choix, un programme de bourse d'études et de perfectionnement pour nous employés eux-mêmes, un abonnement corporatif au gym et le partage de profits annuel. Le pire, c'est que notre entreprise devrait faire partie de tous les top machins au Canada, mais notre patron déteste être sous les spotlights. Restons sobres et humbles.

J'adore.

Je suis content pour vous les gras.  Je ne suis jamais tombé sur des compagnies comme ça.

Ça aurait GRANDEMENT préférable...  car bien que j'ai une expérience professionnelle très remplie (j'aime les gros défis et j'en mange passionnément) et qu'elle est très positive (reconnaissances, distinctions, awards...); j'aurais eu beaucoup plus d'Efficience si les compagnies pour lesquelles je me suis sacrifié avait eu une culture organisationnelle basée sur la Gestion Participative et avait été humaines au lieu d'être autocratiques, bêtes et méchantes...  comme le PLQ l'est actuellement.

Un autre exemple:
Ma propre Soeur a monté le Carrefour Jeunesse Emploi dans une ville qui en avait BIEN besoin.
Voici son commentaire:
"On dirait vraiment que le gouvernement actuel veut élargir l'écart entre les riches et les pauvres..."
Vous l'aurez deviné, elle est BEAUCOUP plus gentille et BEAUCOUP moins radicale.
Moi, je vous le dis: le PLQ est en train de DÉTRUIRE le Québec....

http://www.lapresse.ca/la-voix-de-lest/opinions/courrier-des-lecteurs/201504/07/01-4859022-on-ma-vole-mon-emploi.php

"
Monsieur Couillard, MM. Moreau, Barrette et autres élus locaux qui se frottent les mains, pensant qu'ils vont décrocher le pactole et se gonflent la poitrine à l'idée qu'ils auront plus de pouvoir discrétionnaire, vous et votre conception de la démocratie, je ne vous respecte pas. Vous n'êtes pas des exemples, vous n'êtes pas des leaders, vous êtes des petits chefs d'un autre temps. Vos réformes nourriront bien plus le cynisme que les caisses de l'État.

Vous venez de nous jeter à terre, employés des CJE, CSSS, Forums jeunesse, CRÉ, agences de santé, CLD, etc., mais nous saurons bien nous relever, nous essuyer les genoux et nous rassembler pour nous réengager dans la construction d'une société aux valeurs plus humaines, plus éthiques et plus juste. Et, messieurs les apprenti marionnettistes autoproclamés, cela se fera envers et contre vous.
"

Dehors le PLQ!  Tout de suite!!!

Je l'ai pas lu, mais je sais que vous parlez de ça ici.

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/pkp-un-grand-gestionnaire--le-bilan-est-inegal/577716?utm_source=facebook&utm_medium=socialmedia&utm_content=9-4-15&utm_campaign=pkp_bilan

Ça y est... je me suis tanné, j'ai fait du ménage (suppressions et éditions) pour rendre le tout plus "politically correct". La place est plus propre...

J'imagine que vous l'aurez compris, perso, mon côté humaniste souffre gravement ces temps-ci. Ça doit être juste normal étant donné que nous sommes, je crois, dans un tournant de l'histoire du Québec et que la masse de notre peuple me semble apathique.

Mais je vais aller voter pareil...

Bizarre... après ce que j'ai supprimé...

Les syndicats et PKP:
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/437357/course-au-pq-des-syndicalistes-se-rangent-derriere-pkp

Les réelles intentions de PKP:
http://www.msn.com/fr-ca/actualites/other/parler-ind%C3%A9pendance-le-pari-de-pkp/ar-AAb0iqn

L'envergure de Monsieur Jacques Parizeau est loin d'être connue et reconnue par la masse du peuple Québécois. Pourtant, chaque individu, sans considération d'allégeance, de provenances ou de langues a bénéficié du "sacrifice de sa vie au service de la Nation".

Aujourd'hui, mon coeur bleu de bord en bord, saigne...

http://pq.org/blogue/monsieur/